Fragments persans

Pendant les cinquante dernières années de la dynastie safavide, la céramique iranienne pouvait avoir des motifs peints originaux, dans des verts ou bleues sur fond blanc. C’est un monde peuplé de paons et de gazelles ou les fleurs stylisées représentaient des tournesols et des lotus. Les artistes perses commencèrent à explorer à fond les possibilités de formes non-figuratives y comprises les formes naturelles végétales et florales qui étaient en partie un héritage des traditions gréco-romaines, byzantines et sassanides. Utilisant leur sens de géométrie, les Perses transformaient ces motifs en dessins hautement organisés ou arabesque.